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Biomasse

Biomasse

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*[https://www.consoglobe.com/ac-environnement-biodiversite_2268_sols-fondements-biodiversite.html? Les sols, fondements de la biodiversit&eacute;]<br />
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Version du 17 septembre 2015 à 09:22

Sommaire

La biomasse

Biomasse : désigne les matières organiques pouvant être utilisées comme sources d'énergie durable. Ces matières organiques se caractérisent par leur capacité de stockage de l'énergie solaire grâce à leur processus de développement utilisant la chlorophylle. L'utilisation des biomasses n'a pas d'impact sur l'effet de serre car le CO² produit par la combustion des bioénergies est absorbé par les végétaux pour leur croissance.

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La biomasse

En écologie, la biomasse est la masse des êtres vivants présents dans un milieu donné à un moment donné. Elle est estimée par unité de surface en milieu terrestre et par unité de volume en milieu aquatique. Aussi, la biomasse est considérée comme une des sources d’énergie renouvelable et naturelle. La biomasse qui est produite à partir de déchets de matières organiques, peut produire de l'énergie et constitue une ressource de carburant sous différentes formes.

La biomasse est composée des effluents gazeux des décharges de déchets et de résidus issus de l'agriculture, de la sylviculture ou de l'industrie agroalimentaire. La biomasse peut être convertie en électricité, en carburant pour véhicules, ou bien servir à chauffer des habitations ou des locaux industriels et alimenter des voitures et des camions. La biomasse produit très peu de gaz à effet de serre. - Toute l'énergie stockée dans la végétation de la planète et qui est produite par photosynthèse représente 1,665 zétajoule d'énergie primaire chaque année, soit 1,665 x 10 puissance 21.

La combustion de la biomasse répond à la fois :

  • au problème de la gestion des déchets urbains ou agricoles ;
  • à la production d'électricité ;
  • à la production de chaleur.

Les centrales sont donc le plus souvent situées près des sites de production de la matière première ou de stockage des déchets (urbains ou agricoles). Certaines industries, telles que la papeterie ou la scierie, sont équipées de centrales dans lesquelles elles brûlent directement les résidus de bois liés à leur activités. (EDF)


Composition de la biomasse

La biomasse est la première source d'énergies renouvelables produites en France, devant l'énergie hydraulique, éolienne et géothermique. On distingue plusieurs catégories de biomasse :

  • le bois : bûches, granulés et plaquettes
  • les déchets organiques : les déchets urbains (boues d'épuration, ordures ménagères) et les déchets en provenance de l'agriculture (effluents agricoles).
  • les sous-produits du bois : branchage, écorces, sciures…
  • les sous-produits de l'industrie : les boues issues de la pâte à papier (liqueur noire) et les déchets des industries agroalimentaires (marcs de raisin et de café, pulpe et pépins de raisin, etc. )
  • les produits issus de l'agriculture traditionnelle (céréales, oléagineux) : la paille, la bagasse (résidu ligneux de la canne à sucre) et les nouvelles plantations à vocation énergétique telles que les taillis à courte rotation (saules, miscanthus, etc.)


La biomasse, une énergie renouvelable en devenir

> sur le sujet : Les limites de la production d’énergie de biomasse

  • La biomasse peut permettre de produire de la chaleur, de l’électricité et des biocarburants, mais c’est la production de chaleur qui offre le meilleur rendement.

Grâce à la cogénération, la production d’électricité peut, à partir de la même ressource biomasse, compléter la production de chaleur. Toutefois, comme la production d’électricité offre un rendement plus faible que la production de chaleur, elle est surtout intéressante si la biomasse utilisée provient des ressources locales (par exemple la bagasse dans certains départements d’outre-mer ou l’exploitation forestière en métropole), sachant que le transport de la matière biomasse sur de longues distances détériore le bilan environnemental de cette énergie.

  • Selon les objectifs fixés par la France, la biomasse représentera 40% de la production énergétique renouvelable d’ici 2020 (hors hydraulique). La biomasse (hors biocarburants) représente plus du tiers du potentiel de développement des énergies renouvelables en France à l’horizon 2020 (7,5 sur

20 Mtep). La sélection de ces projets constitue une nouvelle étape dans l’accroissement de nos capacités de production et complète les actions menées dans le Grenelle :

- pour les installations de cogénération de taille moyenne (5 à 12 MW) : doublement des tarifs en janvier 2010 ;

- pour les petites installations de scieries : tarif d’achat préférentiel dès 1 MW depuis janvier 2011 ;

- pour les chaufferies des collectivités, du résidentiel collectif, de l’agriculture, de l’industrie : mise en place du Fonds Chaleur Renouvelable (1,2 milliard d’euros pour 2009-2012) ; les premiers appels d’offres ont été un grand succès avec 91 projets soutenus, représentant une production de 0,5 Mtep à partir de biomasse, 30 % supérieure aux objectifs initiaux. Un quatrième appel d’offres a été lancé le 6 septembre 2011 ;

- pour les chaudières biomasse des particuliers : crédit d’impôt développement durable pour les opérations de remplacement. Pour poursuivre la dynamique sur ces grandes centrales de production, Un nouvel appel à projets de production d’énergie à partir de biomasse sera lancé d’ici mi-2012 après concertation

bonhomme-croissance.jpg Il existe plusieurs formes de biocarburants, mais les plus utilisées à l’heure actuelle présentent des limites : risque de déforestation, risque d’appauvrissement des sols… La production de certains biocarburants peut également menacer la sécurité alimentaire.

Que représente la biomasse dans la production d'énergie en France ?

  • La production française d'électricité en 2010 a représenté un total de 550,3 TWh dont la majeure partie est issue du nucléaire. Les autres énergies renouvelables, dont fait partie la biomasse, représentent une infime partie de la production d'électricité : 2,8% soit 15,3 Twh (+24%)

Parmi les énergies renouvelables, la biomasse occupe la 3e place dans ces 2,8% soit 5,5% à 4,1 TWh (+15,1% sur 2009). Elle a peu progressé par rapport à 2008.

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image edf

La biomasse en France. Objectif de production d'électricité. (Électricité produite, biogaz compris)

  • 2006. : 240 ktep
  • 2012  : 510 ktep
  • 2020 : 1 440 ktep.

La France a produit 11,2 millions de tonnes équivalent pétrole (Mtep) de biomasse en 2006 (deux tiers des énergies renouvelables produites en France).

La production de biomasse est répartie de la façon suivante en 2011 : 

• 9,3 Mtep pour le bois énergie • 0,9 Mtep pour la valorisation des déchets sous forme d'incinération ou méthanisation • 0,7 Mtep pour les biocarburants • 0,2 Mtep pour le biogaz

(Source : ministère de l'Écologie, de l'Énergie, du Développement durable et de la Mer)

Alternative aux carburants fossiles, les biocarburants de première génération (éthanol et biodiesel) peuvent représenter jusqu’à 4 Mtep en 2020 soit environ 10% d’incorporation à cet horizon. Les biocarburants de seconde génération, qui valorise l’ensemble de la plantes, très prometteurs, seront industrialisables à moyen terme (2015 – 2020).

La part de la biomasse dans le mix énergétique La biomasse pour la production d’énergie était la première source d’énergie renouvelable en France. La biomasse représentait en 2007 :

  • 71 % de la production de chaleur renouvelable ;
  • 50 % de la production totale d’énergie renouvelable (chaleur, électricité et carburants) ;
  • 5 % de la consommation finale d’énergie de notre pays.

Les 9,4 Mtep consommées sous forme de chaleur le sont essentiellement dans le secteur résidentiel puisque la consommation de chauffage au bois domestique s’élève à 7,4 Mtep. (source enr.fr)


Le fonds chaleur biomasse

C’est dans le cadre de la production de chaleur que la biomasse offre son meilleur rendement. Suite au Grenelle de l’environnement, le gouvernement a créé un fonds pour soutenir la production de chaleur à partir des énergies renouvelables. Les projets biomasse qui ont vu le jour grâce au soutien de ce fonds permettent en 2013 d’éviter l’émission de 1,6 millions de tonnes de CO2 par an. (source : EDF)

Le chauffage au bois collectif et industriel

  • Important gisement de production d’énergie renouvelable, le chauffage collectif et industriel au bois pourrait produire 5,2 Mtep en 2020. Pour ce faire, il est nécessaire de soutenir via « un fonds chaleur renouvelable » la production de kWh issue de ces combustibles et il est, par ailleurs, nécessaire via « un fonds de mobilisation de la biomasse » d’inciter les investissements « amont » permettant une exploitation efficace et durable des gisements de matières premières (en

particulier issus des forêts).


Un appel d'offre public sur la biomasse en 2011

  • 15 projets de production d’énergie à partir de biomasse ont été sélectionnés par le gouvernement en octobre 2011 :

Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET, ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, et Eric BESSON, ministre chargé de l’Industrie, de l’Énergie et de l’Économie numérique, ont sélectionné, à l’issue d’un appel d’offres, 15 projets de production d’énergie à partir de biomasse. Le Gouvernement a décidé d’aller deux fois plus loin que ce qui était prévu lorsque l’appel d’offres a été lancé il y a un an en retenant 420 MW de projets, soit la totalité des projets jugés recevables par la Commission de régulation de l’énergie, pour un objectif initial de 200 MW. Ce relèvement de l’objectif permettra d’accélérer le développement de la filière biomasse-énergie pour tenir les objectifs du Grenelle de l’Environnement. Ces projets sont porteurs de développement et d’emplois locaux : en fournissant de la chaleur et de l’électricité utilisables localement et en contribuant à créer des débouchés locaux pour la filière bois.

L’examen des projets a été réalisé à l’aune de plusieurs critères fixés dans le cahier des charges : prix de vente de l’électricité, efficacité énergétique, approvisionnement en biomasse, localisation de l’installation. Une attention particulière a été portée à la qualité de l’approvisionnement et au respect des normes sur la pollution atmosphérique.

« Les 15 projets sélectionnés permettront de contribuer de manière très significative au développement des énergies renouvelables, mais aussi à la structuration de la filière et à la mobilisation de nos ressources forestières. Ils vont générer 1,4 milliards d’euros d’investissements et créer de nouveaux emplois verts », a déclaré Nathalie KOSCIUSKO-MORIZET.


Orléans produit de l’électricité et du chauffage urbain « biomasse»

De l’électricité et du chauffage urbain « verts » pour alimenter l’équivalent de 13 000 logements et bâtiments de la ville d’Orléans. La Mairie poursuit ainsi son engagement de participer à la diminution de la production des gaz à effet de serre et donne naissance, avec son concessionnaire Socos (filiale de Dalkia), à la première chaufferie de cogénération fonctionnant à la biomasse à Orléans.

Les avantages sont multiples :

  • une énergie propre,
  • des économies de CO2 : près de 43 000 tonnes d’émission de CO2 seront ainsi évitées chaque année, soit l’équivalent des émissions de 19 000 voitures !
  • une économie pour les abonnés : la TVA passe de 19,6% à 5,5%,
  • soutien de l'activité des entreprises locales de la filière bois.


Communiqué de presse Orléans, le mercredi 15 février 2012

La biomasse alimentera les deux réseaux de chauffage urbain Biomasse, acte 2 ! Un premier projet commence à peine à sortir de terre dans le sud du territoire, que la Mairie d'Orléans dévoile un second projet de chaufferie biomasse, cette fois au nord, offrant ainsi une alimentation plus propre et plus écologique à l’intégralité de ses réseaux de chauffage urbain. Mi-2014, l’ensemble des réseaux de chauffage de la ville d’Orléans passera à la biomasse. Cette modernisation des réseaux, plus écologique, plus économique, vient d’être votée au dernier Conseil Municipal de la Mairie d’Orléans.

Les installations s’appuieront sur des chaufferies de cogénération produisant à la fois de la chaleur et de l’électricité à partir de la biomasse.

La filière d’approvisionnement en bois : des solutions respectueuses de l’environnement. L’approvisionnement se limitera à un secteur géographique d’un rayon de 150 kilomètres, offrant le double avantage de faire fonctionner les entreprises locales et de limiter les distances parcourues. La cogénération biomasse s’appuie sur trois ressources : la ressource forestière (produits de la sylviculture : bois d’élagage, bois déclassés, taillis,…), les sous-produits issus de l’industrie du bois (scieries, menuiseries : écorces, chutes, plaquettes, …) et les bois recyclés propres (palettes, caisses,…). Ces consommations, qui plus est raisonnées, ne font en aucun cas disparaître les forêts : elles contribuent à leur entretien et à leur extension.

Des économies pour les abonnés

La biomasse, énergie renouvelable, offre une réduction de TVA et garantit ainsi à l’abonné une baisse significative de sa facture.

Par exemple, pour un logement moyen, correctement isolé, de 70 m² la facture tombera de 843€TTC à 604€TTC, soit une réduction de près de 28,5%. Et pour des factures plus justes, basées sur la consommation réelle, des compteurs d’énergie thermique seront installés directement chez les abonnés, supprimant ainsi la facturation au forfait.

Autre avantage, les prix sont indexés sur la filière bois, moins sujette à la tendance inflationniste que nous connaissons, et qui s’aggravera dans les prochaines années, de l’énergie fossile.

La démarche volontariste de la Mairie d’Orléans La Mairie d’Orléans dispose de deux concessionnaires pour sa gestion du chauffage urbain, l’un au sud, la SOCOS - Société de chauffage d’Orléans La Source filiale de Dalkia, l’autre au nord, SODC - Société orléanaise de distribution de chaleur filiale de COFELY. C’est sous l’impulsion du Député maire d’Orléans, Serge Grouard, que des négociations ont été conduites afin de voir naitre les deux projets.


Au sud d’Orléans, le chantier a débuté après une pose de première pierre en septembre dernier ; la chaufferie sera opérationnelle à la fin de cette année. Sur cette même période, les premiers coups de pelle seront donnés au nord, pour une entrée en fonction de l’installation courant 2014.

Chiffres clés de la biomasse à Orléans

  • · Près de 15 000 logements concernés (soit 27% de la ville d'Orléans)
  • 87 millions d’€uros d’investissement pour les deux projets
  • 52 km de réseaux
  • 90 000 tonnes d’émissions de CO2 évitées, soit l’équivalent de 40 000 voitures
  • mi-2014, les 2 réseaux du chauffage urbain seront alimentés à la biomasse


Saint Barthélemy, de l'eau potable à partir des déchets

  • L'usine d'incinération de saint-Barthélemy (DOM) est raccordée à une installation de dessalement d'eau de mer.

L'île de Saint-Barthélemy fait partie de l'archipel des îles du nord-Guadeloupe (DOM) et compte environ 8 000 habitants. C'est un lieu touristique très fréquenté des Antilles. En 2001, TIRU (filiale d'EDF) y a mis en service une usine d'incinération qui brûle la totalité des déchets produits sur l'île. Elle a un taux de valorisation énergétique de 80 % qui correspond à 3 tonnes de vapeur produites pour une tonne de déchets brûlée.

La centrale est raccordée à une installation de dessalement de l'eau de mer qui permet de faire face au manque d'eau potable au plus fort de la saison touristique. Ainsi ce sont 1 350 m3 d'eau potable par jour qui sont produits par cette installation.

La chaudière biomasse E;on de Gardanne


La chaudière biomasse de Delpeyrat à Saint Pierre du Mont

Delpeyrat met en service le 1er octobre 2014 une chaudière vapeur biomasse sur son site de production de Saint Pierre du Mont dans les Landes (40).

centrale-biomasse-delpeyrat.jpg

Une alternative au tout-gaz qui s'inscrit dans une dynamique de développement durable initiée de longue date par Delpeyrat soutenu en cela par son actionnaire le Groupe Coopératif Maïsadour.

L’équipe Delpeyrat s’est tournée vers Cofely Services pour mener à bien ses réflexions en matière de maîtrise des dépenses énergétiques et de réduction d’empreinte carbone et environnementale.

Le contrat signé entre Delpeyrat et Cofely Services porte en effet sur la conception, le financement, la construction, l’exploitation et la maintenance de cette chaudière biomasse. Les objectifs sont clairement définis pour les deux signataires :

Bon rendement énergétique des installations de production, Réalisation d’économies significatives de fonctionnement, Respect de l'environnement grâce à des systèmes efficaces de traitement des rejets, Valorisation de la filière bois des Landes. Le site de Saint Pierre du Mont, dédié aux fabrications de foie gras et confit, a besoin chaque année de 18.200 tonnes de vapeur saturée. Le départ d’une réflexion qui a conduit à la construction d’une chaudière biomasse.

Une production sécurisée en diversifiant les moyens de production.

La chaudière biomasse fonctionnera en permanence pour satisfaire 83 % à 85 % des besoins en vapeur et ne sera associée à la chaudière actuelle à gaz que ponctuellement.

En cas de panne, les deux systèmes pourront pallier les défaillances de l’un ou de l’autre. D’où une sécurité optimisée de l’approvisionnement en vapeur.

Engagé comme toutes les filiales du Groupe coopératif MAISADOUR dans une démarche de développement durable, Delpeyrat se devait de se pencher sur des solutions énergétiques alternatives.

Le projet a été déployé autour de trois axes, en étroite concertation avec COFELY SERVICES

- Un projet environnemental exemplaire.

Diminution de 80 % des gaz à effet de serre Utilisation de la Biomasse (énergie locale et renouvelable) Filtration des rejets : 20 mg/Nm3 - La performance économique.

Le bois utilisé pour la combustion et qui se substitue au gaz, doit conduire à la réalisation d’économies notables.

- L'impact social.

Valorisation de la filière locale bois-énergie Sensibilisation aux enjeux Energétiques et Environnementaux

biomasse =

  • Selon le magazine américain Discover, si les Etats-Unis utilisaient tous leurs déchets agricoles pour les transformer en gaz et en pétrole, ils produiraient l'équivalent de 4 milliards de barils de pétrole. Or, les Etats-Unis ont importé plus de 4,3 milliards de barils en 2002.


Voir aussi

[ CSC Capture et stockage du carbone ] [ Conférence de Bali ] [ Effet de serre ] [ Kyoto ]

A lire également


Sources sur la biomasse : EDF; enr.fr/docs/2009203537_SERKitBiomasse200903LDRGB02Chiffres.pdf /

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