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CO2

CO2

Un article de Encyclo-ecolo.com.

pollution
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Sommaire

Le CO2, dioxyde de carbone, un gaz à effet (de serre) planétaire

Ce qui cause la pollution atmosphérique produit également ce qui favorise l’effet de serre : le gaz carbonique, le C02 : pétrole, gaz naturel, charbon. Ainsi même si les gaz à effet de serre ne sont pas vraiment des polluants, leur production excessive accentue le réchauffement climatique. Le CO2 est nécessaire et crucial à la croissance des plantes. La flore le capte et le transforme et ainsi le carbone représente environ 40 % de la matière sèche des végétaux sur terre.

Les émissions de CO2 en 2011

  • Après une pause (-1,3%) due à la crise économique mondiale en 2009, la croissance des émissions de CO2 a repris en 2010 et 2011.

Selon le Global carbon project, les émissions de carbone dues aux combustibles fossiles ont augmenté de 5,9% en2010. La hausse des rejets de CO2 atteint 40% de 1990 à 2010 et atteignent 36 milliards de tonnes de dioxyde de carbone cette année là. La hausse a été le fait des pays développés (+7,6%) plus que celles des pays en développement (+ 3,4%)

En 2010, rejets CO2 de la Chine : + 10,4 % ; de l'Inde + 9,4 %.

Mauvaise nouvelle, en 2010 la croissance des émissions a été supérieure à celle de la croissance mondiale : cela montre que les efforts de réduction ont été relâchés.

41 % : la part du pétrole dans les émissions de carbone dues aux combustibles fossiles.

390 ppm: la concentration globale en C02 dans l'atmosphère mondiale en 2012



Émissions de CO2 2011: plus de pays en voie d'atteindre les objectifs de Kyoto


  • Les émissions baissent de 2,5 % : Émissions de gaz à effet de serre en 2011: plus de pays en voie d'atteindre les objectifs de Kyoto

Les émissions de gaz à effet de serre de l’Union européenne (UE) ont baissé en moyenne de 2,5 % entre 2010 et 2011, bien que plusieurs pays aient vu leurs émissions augmenter. Par rapport à l'année dernière, la quasi-totalité des pays européens sont en voie de respecter les engagements pris dans le cadre du protocole de Kyoto, ainsi qu’il ressort de deux rapports publiés ce jour par l'Agence européenne pour l'environnement (AEE). L’Union européenne dans son ensemble dépassera les objectifs fixés à Kyoto ... D’importants progrès ont été réalisés depuis 1997, mais tous les États membres doivent tenir leurs engagements.


Le rapport de l'AEE intitulé «Approximated EU GHG inventory: Early estimates for 2011» (Inventaire approximatif des émissions de gaz à effet de serre de l’UE: premières estimations pour 2011) présente les premières estimations concernant les émissions de gaz à effet de serre de l'année précédente et fournit des données importantes pour le rapport intitulé «Greenhouse gas emission trends and projections in Europe 2012» [Tendances et projections des émissions de gaz à effet de serre en Europe en 2012] , qui dresse le bilan des progrès réalisés par l'UE par rapport aux engagements pris par celle-ci dans le cadre du protocole de Kyoto.


«L’Union européenne dans son ensemble dépassera les objectifs fixés à Kyoto», a déclaré Jacqueline McGlade, directrice exécutive de l'AEE. «La première période d'engagement du Protocole de Kyoto prendra fin d’ici deux mois. D’importants progrès ont été réalisés depuis 1997, mais tous les États membres doivent tenir leurs engagements. En ce qui concerne les États membres de l'UE qui n'ont pas atteint leurs objectifs de réduction des émissions au niveau national, les mécanismes de flexibilité du Protocole de Kyoto resteront disponibles jusqu'en 2015.»

Réductions des émissions en 2011

  • D'après les estimations de l'AEE, de 2010 à 2011, les plus importantes réductions relatives d’émissions ont été enregistrées dans des pays dont les émissions représentent une proportion moyenne ou faible des émissions totales de gaz à effet de serre de l’UE: 13 % pour Chypre, 8 % pour la Belgique, la Finlande et le Danemark. Avec une réduction de 36 millions de tonnes d'équivalent CO2 (Mt CO2 eq.) en 2011, soit 6 % de ses émissions, le Royaume-Uni est le pays dont la réduction des émissions en termes absolus est la plus importante. Il est suivi de la France (24 Mt CO2 eq., soit 5 % de ses émissions) et de l'Allemagne (17 Mt CO2 eq., soit 2 % de ses émissions).

Dans neuf États membres de l'UE, les émissions ont augmenté entre 2010 et 2011. Les émissions ont augmenté de 11 % en Bulgarie, de 3 % en Lituanie et de 2 % en Roumanie. Ces pays ont cependant globalement enregistré les plus importantes réductions d'émissions depuis 1990. Bien que les facteurs économiques aient joué un rôle dans certains pays, il est à noter que la croissance de l'économie de l'UE a globalement enregistré une hausse de 1,5 %, alors que les émissions ont baissé de 2,5 %. La plupart des pays enregistrant les plus importantes réductions d'émissions ont connu une croissance positive en 2011.

L'hiver chaud qu'ont connu bon nombre de pays a été l’un des éléments clés de la réduction des émissions en 2011, car la demande en combustibles fossiles à des fins de chauffage s’est avérée plus faible que les années précédentes. Les secteurs qui ont le plus contribué à la réduction des émissions au niveau de l’Union européenne sont les secteurs résidentiel et commercial, qui sont largement en dehors du champ du système d'échange de quotas d'émission de gaz à effet de serre.

Les pays européens se rapprochent des objectifs de Kyoto

Les émissions ne relevant pas du système d’échange de quotas de gaz à effet de serre sont importantes, car les évolutions que connaissent les secteurs se trouvant dans l’impossibilité de procéder à des échanges dans le cadre de ce système ont une incidence sur la réalisation, par les différents pays, de leurs objectifs respectifs. Les émissions globales provenant des secteurs économiques de l'UE ne relevant pas du système d’échange de quotas ont diminué d'environ 3,0 %, alors que les émissions relevant de ce système ont diminué de 1,8 % en 2011. Dans les 15 États membres ayant un objectif commun au titre du protocole de Kyoto (UE-15), les émissions de gaz à effet de serre des secteurs ne pouvant pas procéder à des échanges dans le cadre du système d’échange de quotas ont enregistré une baisse rapide de 3,8 %, entre 2010 et 2011. Cette réduction des émissions, associée aux contributions prévues des puits de carbone et mécanismes de flexibilité du protocole de Kyoto, confirme que l'UE-15 est en voie d’atteindre les objectifs fixés à Kyoto de réduction de ses émissions de 8 %. Cependant, pour que cet objectif commun soit atteint, tous les pays devront également atteindre leurs objectifs individuels. Dans la mesure où les plafonds d’émissions sont déjà définis pour les secteurs économiques relevant du système d’échange, en 2012, la réduction des émissions dans les secteurs qui ne relèvent pas de ce système et les contributions des puits de carbone détermineront à terme le nombre de crédits de Kyoto que les États membres devront obtenir pour atteindre leurs objectifs individuels d'ici le début de l'année 2015 au plus tard. L'un des rapports de l'AEE montre que certains États membres doivent encore mettre au point des plans spécifiques en vue de telles acquisitions (Italie) ou mettre en œuvre les plans existants (notamment l'Autriche, la Belgique, le Portugal et l'Espagne).

Vers une réalisation des objectifs chiffrés pour 2020

  • L'UE a adopté une réglementation visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 20 % entre 1990 et 2020. Les dernières données montrent que les émissions de l’UE ont diminué de 16,5 % et que l'Union est en bonne voie pour atteindre cet objectif. Si l'on exclut l'aviation internationale, comme c'est le cas dans le cadre des engagements au titre du protocole de Kyoto, les émissions de l’UE ont diminué de 17,5 % depuis 1990.

Les prévisions des États membres, si l'on tient compte des politiques et mesures actuellement mises en œuvre, suggèrent que les émissions de l’UE continueront de diminuer pour finalement enregistrer, en 2020, une baisse de 19 % par rapport aux niveaux de 1990. Moins de la moitié des États membres de l'UE prévoient une baisse de leurs niveaux d'émissions en dessous de leurs objectifs individuels pour 2020 en recourant uniquement aux mesures nationales actuellement mises en œuvre. Si la flexibilité qui est permise en vertu de la décision relative à la répartition de l'effort en pourrait permettre aux États membres d’atteindre leurs objectifs, la plupart des États membres doivent intensifier leurs efforts afin de réduire les émissions de gaz à effet de serre en accélérant la mise en œuvre des politiques et mesures supplémentaires qu'ils ont déjà prévues.




Les sources de production de CO2

Les émission de CO2 seraient :

  • 2 % à la production de ciment,
  • 25 % à la déforestation,
  • 73 % aux fuels fossiles.

La combustion des fuels fossiles génère de l’ordre de 23 Gt de CO2 par an (ou 6Gt de C) dont :

  • 18 % proviennent du gaz,
  • 40 % du charbon,
  • 42 % du pétrole.

Les énergies fossiles représentent environ entre 80 et 85 % (suivant les auteurs) de l’énergie mondiale fournie.

Émission de CO2 par type de source d’énergie fossile (en 1995 et en moyenne):

  • Charbon : 25 kg / GJ
  • Pétrole : 20 kg / GJ
  • Gaz naturel : 14 kg / GJ

C’est donc bien l’excès de libération du C02 enfoui depuis des millions d’années dans le fond des océans, dans les gisements de pétrole, dans le permafrost, … qui pose problème en accentuant la chaleur terrestre. Une étude européenne a montré (Epica) a montré que le taux de C02 n’avait jamais été aussi élevé sur terre depuis 800 000 ans : un carottage profond de 3260 mètres en Antarctique a montré que lors des derniers 8 cycles glaciaires-interglaciaires qui ont duré chacun 100 000 ans environ, le taux de C02 a régulièrement évolué. Ce taux a évolué entre une concentration de 172 et 300 parties par millions (ppm) contre 385 ppm aujourd’hui tandis que la teneur en méthane évoluait entre 350 et 800 ppm contre 1770 ppm aujourd’hui.

L’étude confirme le lien étroit entre teneur en gaz à effet de serre et températures. Chaque français, par an et en moyenne, soit à peu près 9 tonnes de CO2. Il faut savoir que la Terre ne peut recycler à l'aide de puits (cycle du carbone) que 500 kg de chacune de ces 2,7 tonnes de CO2. Autrement dit, chaque personne produit un peu plus de 7 tonnes de CO2 qui s’accumulent dans l’atmosphère. Ce qui intensifie l’effet de serre et donc le réchauffement.

Contrairement à ce qu’on croit souvent, ce ne sont donc pas l'industrie et des transports les responsables uniques des gaz à effet de serre. En France, ils ne représentent que 50% des émissions de GES. Le reste est émis par l’agriculture, les entreprises de services et enfin les particuliers tels que vous et moi. Une voiture essence moyenne qui roule 1000 kilomètres émet 220 kg de CO2. Si c'est une diesel, elle en émet 170 kg, alors qu'une voiture au GDP ou hybride produit environ 100 kg de C02.

Rappel : Le protocole de Kyoto impose aux pays industrialisés une réduction de 5,2 % des émissions de CO2 par rapport au niveau de 1990 entre 2008 et 2012. Pour l’Europe, la réduction est de 8% et pour la France 0%.


La concentration de C02 dans l'histoire récente

  • Les émissions de CO2 ont atteint des niveaux jamais atteints depuis 650 000 ans (379 parties par millions en

volume en 2005 contre 280 ppm avant l’ère industrielle)

  • La concentration en C02, dioxyde de carbone était de 276.8ppm en 1744 et est de 385 ppm de nos jours alors que les scientifiques prensent qu'ils ne faut pas dépasser 450 ppm de dioxyde de carbone.

Réduire les émissions de CO2, un enjeu planétaire


  • Elles sont dues aux émissions de gaz à effet de serre, responsables de changements climatiques inquiétants.

Avec plus de 141 millions de tonnes émises en 2005, le secteur des transports représente 34 % des émissions de CO2 en France2.

Les transports et les émissions de C02

  • 35 % des émissions de CO2 en France sont liées à la consommation de carburant
  • 17 % des émissions de CO2 d’un ménage français sont associées au transport de marchandise
  • 57 % des émissions de CO2 des transports routiers sont dues aux voitures particulières
  • En France, les émissions de CO2 par trajet sont de 173 g/km par voyageurs qui utilisent l’avion, de 150g/km pour les voitures individuelle, de 66,7 g/km par voyageurs qui utilisent le bus, de 2 g/km par voyageurs qui utilisent le train, et de 0,6 g/km par voyageurs qui utilisent le tramway !

Tous responsables du CO2

  • Chaque personne contribue quotidiennement aux émissions de CO2 : un ménage français en rejette en moyenne 16,4 tonnes par an dans l’atmosphère.
  • En changeant un peu ses habitudes, chaque individu peut agir de manière positive sur ce phénomène. Des efforts peuvent être faits en matière de transports. Le covoiturage, les transports en communs, le vélo ou la marche à pied permettent de se déplacer en respectant mieux l’environnement.
  • C’est par la multiplication des initiatives individuelles et collectives, notamment des entreprises, que nous

pourrons réduire de manière signifi cative ces émissions néfastes pour notre environnement.


2011 - réduction des émissions de C02 en Europe

En 2011, et contrairement à 2010, l’Union européenne a réduit de 2,5 % ses émissions de gaz à effet de serre. Grâce à un hiver doux et au développement des énergies renouvelables.

Les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont reparties à la baisse en 2011 dans l’Union européenne, avec -2,5 %, après une année 2010 marquée par une hausse de 2,4 %, selon une estimation de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE). L’AEE précise que les 15 membres de l’UE les plus anciens, engagés dans le protocole de Kyoto, ont même enregistré une baisse de 3,5% de leurs émissions de GES.

Ces baisses ont été réalisées en dépit d’une augmentation de la consommation de charbon et d’une hausse du PIB, souligne l’Agence. Mais l’hiver a été relativement doux dans plusieurs pays européens, ce qui a contribué à réduire les besoins de chauffage des foyers et donc la consommation de gaz naturel, explique l’AEE. La consommation d’énergies renouvelables a aussi continué à croître en 2011, contribuant ainsi à la réduction d’émissions de gaz à effet de serre.


Les émissions de gaz à effet de serre en Europe entre 1990 et 2011 d’après les chiffres de l’Agence européenne de l’environnement (en millions de tonnes d’équivalent CO2). L’ensemble des 27 pays membres (EU-27, courbe verte) ont réduit leurs émissions de 17,5 % sur cette période et de 2,5 % entre 2010 et 2011. Les 15 pays signataires du protocole de Kyoto (EU-15, courbe orange), partis de plus bas, ont diminué leurs émissions de 14,1 %, et de 3,5 % entre 2010 et 2011.

Moins 14 % depuis 1990

En 2011, les 15 membres européens signataires du protocole de Kyoto affichent un niveau d’émissions de GES de 14,1 % inférieur à 1990, année de référence pour le protocole qui fixait pour ces pays un objectif de réduction de 8 % à l’horizon 2008-2012.

Les émissions de GES des 27, qui ne sont pas engagés collectivement par Kyoto, se sont élevées en 2011 à 17,5% en dessous du niveau de 1990. Leur objectif, non contraignant, est d’atteindre une baisse de 20 % d’ici 2020 comparé à 1990.


Réduire les émissions de CO2 par les plantes

Chaque année, la végétation terrestre absorbe 120 milliards de tonnes de dioxyde de carbone lors de la photosynthèse, soit l'équivalent de 3805 tonnes par seconde. La moitié de ce co2 retrourne dans l'atmosphère par la respiration des végétaux, l'autre moitié est stockée dans la plante. Cela représente 10 fois plus de C02 que ce que l'homme émet.

La moitié du C02 absorbé par les plantes finit soit par être restitué à l'air par le biais de la photosynthèse, la respiration des plantes. Le reste est stocké dans la plante sous forme de matière organique puis libéré à la mort de la plante, lors de la décomposition dans le sol.

Au final, tout le CO2 absorbé par la photosynthèse finit par se retrouver à nouveau dans l'atmosphère. Le bilan carbone du cycle végétal est neutre.


Ceci dit, si on empêche le C02 de retourner dans l'atmosphère, on peut freiner la concentration de C02 excessive. La capture de CO2 permettrait de retirer de l'atmosphère les quelque 200 milliards de tonnes qui y sont en excès en 2009.


Une des méthodes consiste à pyrolyser les végétaux pour les transformer en charbon, biochar, qui est ensuite stocké ou épandu pour les incorporer aux sols

En Chine, on ne badine pas (plus) avec la pollution et les émissions de C02, ou plutôt sur le respect des engagements du Parti et de l'Etat en matière de lutte contre les émissions de Gaz à effet de serre.

Pour tenir les objectifs sur lequel s'est engagé le gouvernement chinois sur la scène internationale, les Autorités n'y vont pas avec le dos de la cuillère. Comme la croissance économique ne ralentit pas, la Chine renforce sa position de premier pollueur mondial. Mauvaise nouvelle, les objectifs d'émission de C02 sont en passe d'être dépassés.

En urgence, les Autorités ont donc multiplié les coupures brutales, tous azimuts. Usines arrêtées, feux de circulation éteints, hôpitaux sans électricité, magasins éclairés à la bougie....la potion est rude et tout à fait volontaire. On est loin des douces demandes au sens civique adressés par le gouvernement et EDF aux citoyens français pour éviter des pointes de consommation électriques trop extrêmes (on vient d'ailleurs le record absolu de consommation à cause du froid).

En Chine, l'objectif risque de ne pas être atteint malgré la radicalité des mesures de coupure de courant. Pourquoi ? Parce qu'on 'a beau couper la demande et quelques centrales à charbon, bien nocives, les réactions des Chinois le sont plus encore.

En effet, pour se fournir de l'énergie, les Chinois ont rallumé leur moteurs au fioul ou des groupes électrogènes diesels, encore plus polluants. Un effet boomerang en forme de pied de nez ... que va payer l'environnement. Vive les méthodes chinoises !



Voir aussi au sujet du C02, dioxyde de carbone, C02

[ CSC Capture et stockage du carbone ] [ Conférence de Bali ] [ Effet de serre ] [ Kyoto ]

au sujet du C02, dioxyde de carbone, C02

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