Telephone portable
Un article de Encyclo-ecolo.com.
(telephone, telephone portable et empreinte ecologique) |
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* les rejets de CO2 : 35 kg éq. / abonnés / an soit 0,46% des émission d’un terrien en 2001, | * les rejets de CO2 : 35 kg éq. / abonnés / an soit 0,46% des émission d’un terrien en 2001, | ||
* l’acidification : les pluies acides résultent par exemple des émissions sulfurées de centrales au charbon, en agissant sur le CO2 on agit également sur cet indicateur, | * l’acidification : les pluies acides résultent par exemple des émissions sulfurées de centrales au charbon, en agissant sur le CO2 on agit également sur cet indicateur, | ||
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Les Téléphones portables
L'empreinte écologique des téléphones portables
- Ericsson a réalisé une étude détaillée du cycle de vie (ACV) pour connaître l’empreinte carbone d’un utilisateur de téléphone portable.
Le périmètre de l'étude est intéressant car il tient compte tout au long du cycle de vie du téléphone de toute l’infrastructure mobilisée son l’utilisation : station de base radio, centre serveur, le téléphone portable lui-même, etc. – et lors des différentes étapges : fabrication, utilisation, fin de vie, recyclage, etc.
- L'étape de la fabrication (téléphone portable et station de base radio) est celle qui émet le plus de gaz à effet de serre, devant l’utilisation du téléphone. Cela est du à la durée d’utilisation des téléphones : moins de 18 à 24 mois pour le téléphone portable, 10 ans pour une station de base, 15 ans pour les autres équipements télécoms. L'achat d’un téléphone d’occasion reste rare et consoGlobe est le premier site web a proposer les téléphones portables recyclés par l'Atelier du Bocage d'Emmaüs dans sa boutique hi-tech écolo.
L’empreinte carbone des téléphones portables a été divisée par 10 depuis 1985 et celle des stations de base radio divisée par 2 entre 2001 et 2007. Les améliorations se sont produites à différents niveaux : terminaux, sous traitants, efficacité des processus internes à Ericsson, etc.
Malgré tout, les axes de progrès les plus importants sont l'effet volume ainsi que l’efficacité énergétique des téléphones de base qui sont plus petits et moins énergivores.
L’étude s’intéresse aussi aux autres impacts et montre qu’ils se concernent surtout :
- les rejets de CO2 : 35 kg éq. / abonnés / an soit 0,46% des émission d’un terrien en 2001,
- l’acidification : les pluies acides résultent par exemple des émissions sulfurées de centrales au charbon, en agissant sur le CO2 on agit également sur cet indicateur,
- etc.
Téléphone portable - le saviez vous ?
- L’utilisation d’un téléphone portable pendant un an émet autant de CO2 qu’un aller-retour en TGV entre Lyon et Paris
[modifier] Telephone portable - Voir aussi
[ D3E ] [ Plastiques ] [ Telephone ]